Devant un temps plutôt mauvais, les pieds dans l'eau, je capture le chemin tracé devant moi
Ainsi je croise la fleur de ronces, la seule parmi toutes les épines, d'une fragilité incroyable
Passant par le Rohan, territoire des chevaux, il me plait à jouer avec le fond du Marais des morts
Est-ce le fond ou bien le ciel qui lui donne cet aspect ?
Je m'amuse
La vision oblige, les trèfles m'appellent en faisant miroiter leurs gouttes de pluie arrondies
Le retour se fait sous l'œil vigilant et acéré du passeur, véritable mystère félin
ça y est... elle a complètement recraqué et est repartie dans le délire SDA
RépondreSupprimer